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Michel Aubineau

Les homélies Pascales de Saint Jean Chrysostome

Από «ΑΝΑΛΕΚΤΑ ΒΛΑΤΑΔΩΝ» εκδ. Παναγιώτης Χρήστου, Θεσσαλονίκη 1973.


La plupart des communications de ce colloque étant centrées sur l'édition des oeuvres de saint Jean Chrysostome, on me pardonnera d'ouvrir devant vous un dossier, sur lequel je travaille depuis longtemps: celui des homélies inédites sur la fête de Pâques, attribuées à Chrysostome.

Je prévois naturellement l'objection: nous sommes déjà accablés par l’ampleur de la littérature chrysostomienne —18 tomes de la Patrologia Graeca de Migne—: n'ajoutez pas à notre fardeau!

Or la découverte d'un texte grec inédit, d'époque patristique, est toujours un évènement. Jamais un historien n'oserait plus reprendre à son compte la réponse célèbre que fit l'Abbé de Vertot, auteur d'une Histoire de l'orde de Malte (1719), à un collègue qui lui communiquait des détails inédits sur le siège de Malte par Soliman II: «J'en suis fâché, mais mon siège est fait». L'apport de documents nouveaux, même dans le cas d'un «corpus» aussi abondant que celui de Jean Chrysostome, constitue un enrichissement pour tous, théologiens, philologues, liturgistes et historiens.

Comment ne pas évoquer ici le RP. A. Wenger, découvreur heureux s'il en fut jamais, pour ses Huit Catéchèses baptismales inédites(1) de Jean Chrysostome: le mémorable volume 50 de «Sources Chrétiennes». Je regrette qu'il n'ait pu se joindre à nous, en ce colloque, car personne, depuis quinze ans, n'a plus apporté que lui, dans le champ des études chrysostomiennes, pour la qualité des textes découverts et pour le niveau hautement scientifique du commentaire qu'il leur a consacré.

Peut-être, dans la douzaine d'homélies pascales encore inédites et attribuées à Chrysostome, se trouve - t - il des pièces authentiques qui enrichiront son «corpus»? Se révéleraient - elles apocryphes, peu importe, si certaines d'entre elles remontent à l'époque patristique, plus haut peut - être dans le temps que Chrysostome lui - même, ou si d'autres se rattachent à l'école de Proclus, nous fournissant de nouveaux témoins de ce «style asiate», si raffiné. Avant d'inventorier les pièces inédites, faisons le point des homélies pascales authentiquement chrysostomiennes: arrêtons - nous d'abord à celles qui ont été conservées, puis essayons d'évaluer le nombre de celles qui ont été perdues.

* * *

On a la déception de constater qu'il ne reste de Chrysostome, sur la fête de Pâques, que quatre homélies authentiques, et encore toutes les quatre datent - elles de la période antiochienne, des années 386 à 397.

Chrysostome a prêché en la fête de Pâques 387 (le 25 Avril), devant l'évêque Flavien, qui était rentré de Constantinople après avoir arraché à Théodose la grâce des Antiochiens: c'est l'homélie XXI sur les Statues(2). On ne trouve quasi rien à glaner sur le mystère pascal dans cette homélie, toute occupée par le récit de l'ambassade à Constantinople et par le plaidoyer de Flavien devant l'empereur, plaidoyer reconstitué de façon plus ou moins fictive.

L' année 388 fut extrêmement féconde. On situe les homélies I—XXXII in Genesim (PG 53,21 sq.) pendant le Carême, et la suite, les homélies XXXIII - LXVII (PG 53,305 sq.), après la Pentecôte(3). Les trois catéchèses aux Néophytes, découvertes par A. Papadopoulos—Kérameus(4) dans un manuscrit de Moscou, datent très probablement(5) de la même année 388: la première, prononcée trente jours avant Pâques, après la XIe homélie in Genesim, se lit dans la PG 49, 223-232; la seconde(6), prononcée vingt jours avant Pâques; la troisième, la dernière avant le baptême, prononcée le Jeudi – Saint(7). Le début de l'homélie XII in Genesim mentionne encore, pour le temps du Carême, un autre sermon, contre ceux qui jeûnent avec les Juifs(8). Le début de l'homélie XXXIII in Genesim(9) rappelle comment l'orateur interrompit ce commentaire pour adopter des thèmes plus conformes au temps liturgique: la trahison de Judas(10), la Croix (11), la Résurrection du Seigneur(12), le début du Livre des Actes(13).

C'est très probablement à la fête de Pâques 388 qu'il faut rattacher l’homélie «Contre les ivrognes et sur la Résurrection N.S.J.C.». On a signalé, ci- dessus(14), l'allusion de l'homélie XXXIII in Genesim à une prédication sur la Résurrection du Seigneur. Mais surtout on lit dans l'homélie I in Principium Actorum des considérations sur le bon usage du vin: «Ce n'est pas la richesse qui est un mal, mais son usage illégitime. Et de même que récemment (πρώην), vous parlant de l'ivresse, je n'accusais pas le vin, car 'toute créature de Dieu est bonne'. . ., ainsi maintenant. . . etc (15). . .» Manifestement cette doctrine rejoint le conseil donné dans l'homélie pascale «Contra ebriosos»: «Abstenons - nous de l’ivresse. Je ne dis pas: abstenons - nous du vin, mais abstenons-nous de l'ivresse. Ce n' est pas le vin qui fait l'ivresse, car il est créature de Dieu, et une créature de Dieu ne fait rien de mal, mais c'est le choix (προαίρεσης) mauvais qui fait l'ivresse»(16). Voilà donc une homélie prononcée en la fête de Pâques de l'année 388 (le 9 Avril), «contre les ivrognes et sur la Résurrection de N.S.J.C.».

Une troisième homélie pascale, une catéchèse «ad Neophytos», était connue en version latine depuis fort longtemps, puisqu' elle avait été traduite en latin, vers 315, par Anien de Celeda, et qu'un passage de cette version sur les péchés des petits enfants avait donné occasion à une polémique entre Julien d' Eclane et saint Augustin(17). Mais il avait fallu attendre l'année 1909 pour connaître le texte original grec: texte d'ailleurs quasi inaccessible, puisque A. Papadopoulos—Kérameus l'avait publié, ou enfoui, dans ses Varia Graeca Sacra,p. 176 - 183. Combien de gens purent le lire? Enfin, en 1955, le R.P A. Wenger découvrit(18) dans un manuscrit de l'Athos, le codex Stavronikita 6, non seulement cette catéchèse, mais sept autres, inédites, d'un prix inestimable pour les liturgistes, les théologiens et les historiens. Cette homélie pascale (la IVe de Papadopoulos—Kérameus) est la IIIe des Huit Catéchèses baptismales éditées par Wenger(19). Il en donnait une édition critique en utilisant le manuscrit de Moscou (IXe — Xe s.) connu de Papadopoulos—Kérameus, le manuscrit 6 de Stavronikita (début du XIe s.) decouvert par lui, et le Paris, gr. 700 (Xe), retrouvé encore par lui, qu'avait négligé Montfaucon. C'est un texte prêché aux nouveaux baptisés, soit au matin de Pâques, soit plutôt, me sembl - et - il, pendant la Vigile pascale(20).

Enfin le manuscrit de Stavronikita renfermait une autre homélie, strictement inédite, qui pourrait encore convenir au jour de Pâques: c'est la catéchèse IV du recueil de Wenger(21). Ce dernier hésite entre le jour de Pâques et le lundi de Pâques(22). Rien n'exclut la première hypothèse, surtout si la Catéchèse III a été prononcée dans la Vigile pascale. Dans une démonstration prudente et très vraisemblable que je ne reprendrai pas, le P. Wenger situe à Antioche et dans les années 389 à 397, ces deux dernières homélies pascales(23).

* * *

Peut - on évaluer le nombre des homélies pascales perdues?

A Antioche d'abord? Bien qu'il fût chargé de l'initiation des catéchumènes et qu' il prêchât souvent davant son évêque, rien ne prouve que Jean ait prononcé une homélie pascale chacune des douze années, de 386 à 397, où il exerça son sacerdoce à Antioche. L'évêque Flavien et d' autres prêtres de la cathédrale, prenaient parfois la parole. Ces précisions restreignent peut - être le nombre des homélies pascales perdues. Une autre remarque toutefois risque au contraire de l'accroître: on prêchait, et dans la Vigile pascale, et au matin de Pâques.

Rien ne reste des prédications pascales de l'évêque de Constantinople, ou du moins rien n' en a été identifié jusqu'ici. Par contre on sait que, deux fois, il fut empêché de prêcher pour cette fête. Ainsi à Pâques 401 (le 14 Avril), Jean Chrysostome était absent de Constantinople : beaucoup de néophytes ont regretté de n' avoir pas reçu le baptême de sa main. Lui - même nous l'apprend dans l'homélie prononcée «A son retour d' Asie», où il était allé pour apaiser des discordes qui avaient éclaté entre des évêques, dont certains avaient reçu une consécration simoniaque. Longue absence de plus de cinq mois, précise cette homélie, qui n' était connue jusqu'ici que par version latine(24) remontant peut - être au Ve siècle, attestée du moins par un manuscrit du début du VIIIe s., le fameux Vaticanus lat. 3836 (Lectionnaire d' Agimond). Or le P.Wenger, encore lui, a retrouvé le texte grec original, qu'on croyait à jamais perdu, dans un manuscrit de Moscou, le codex 159 (IXes.), et en a donné l'édition et le commentaire(25).

En 404, pas d'homélie pascale non plus, puisque l'évêque est resté consigné dans son palais, et que les fêtes pascales (17 Avril), ont été marquées par les désordres que l'on sait, rapportés par Palladius(26).

Enfin à Pâques 405, Jean Chrysostome se trouvait exilé à Cucuse, en Arménie. Jamais plus il ne devait revoir sa ville, avant de mourir à Comane, dans le Pont, le 14 Septembre 407. Si donc il a prêché à Constantmople pour une fête de Pâques, ce ne peut être que dans cinq circonstances: dans les années 398, 399, 400, 402 et 403.

Tout laisse donc penser qu'un certain nombre d'homélies pascales de Chrysostome ont été perdues, ou du moins n'ont pas été identifiées jusqu'à ce jour, dans les treize années pour lesquelles aucune homélie n'est attestée sur la fête de Pâques.

* * *

Vous avouerai - je que je suis venu à Chrysostome par le biais des Pseudo—Chrysostome? On trouve beaucoup de pacotille dans ces pièces, qui sont légion, mais, sous cette étiquette banale, se cachent aussi des pièces admirables, d'un grand intérêt pour l'histoire des doctrines et des liturgies, parfois très anciennes, antérieures même à Chrysostome. Citons seulement deux exemples: le sermo VI in sanctum Pascha, édité par P. Nautin(27), que R. Cantalamessa date du second siècle, de l'époque même de Méliton(28), et le sermo VII in sanctum Pascha, une «homélie anatolienne sur la date de Pâques en l'an 387», qu' ont publiée F. Floëri et P. Nautin(29).

Si, en juin 1963, j'ai commencé l'inventaire des manuscrits grecs chrysostomiens(30), tout seul, pressant M. Richard de reprendre une idée lancée naguère, en 1956, par le RP Carter(31), c' était dans l'espoir de retrouver des vestiges de littératures disparues. Très vite, je me suis intéressé aux homélies pascales, celles d'Hésychius de Jérusalem, de Jean de Béryte, de Léonce de Constantinople, mais aussi celles de Jean Chrysostome, avec la part d' inconnu que comporte cette étiquette. J'ai rassemblé des microfilms en vue de l'édition d'une douzaine de pièces attribuées à Chrysostome, dont voici les initia:

Ἀγαπητοί, περί τῆς τῶν εὐαγγελιστῶν ἱστορίας. . .
Ἀναστάσεως ἡμέρα, ἀγαπητοί, καὶ πρὸς ἀθανασίαν. . .
Ἐν ἁγίῳ πνεύματι καὶ έν Θεῷ, φιλέστατοι. . .
Ἐπειδή ἕνδεκα μαθητάς εἶχεν ὁ Κύριος. . .
Ἡ μὲν τοῦ πάθους τῆς ἡμετέρας ἀπαρχῆς ναυαγία. . .
Ἡ τῆς ἀναστάσεως τοῦ σωτῆρος καταλάμψασα χάρις. . .
Καθάπερ οἱ τοῦ σώματος ὀφθαλμοί. . .
Νικᾷ καὶ μόνη ἡ ὄψις τῆς ἑορτῆς. . .
Ὅταν τὸ μέγεθος τοῦ δεσπότου. . .
Πάσχα ἡ σήμερον ἡμέρα, ἀδελφοί, καὶ ἱερὰ πανήγυρις. . .
Πάσχα ἱερόν καὶ τίμιον ἐπέλαμψε σήμερον. . .
Σήμερον ὁ οὐρανός ἀγάλλεται καὶ πᾶσα ἡ γῆ. . .

Dans l’état actuel des travaux, il m'est difficile de me prononcer sur une date, et «a fortiori» sur l'attribution de ses pièces inédites, mais il est vraisemblable que plusieurs d' entre elles reviennent à Chrysostome. La critique interne, c'est - à - dire l'examen du vocabulaire, du style, des thèmes, permettra peut - être, grâce à un faisceau d'indices convergents, de fonder un procès de paternité, en attendant qu' une citation très ancienne, découverte dans des Florilèges grecs orientaux ou latins (c'est l'argument de critique externe) vienne confirmer l'attribution. Mais peu importe d'ailleurs si certaines pièces échappent à Chrysostome: ce sont des reliques prestigieuses d'un grand passé. J'espère les éditer sans trop tarder(32), ayant déjà en quelque sorte balisé la route par la publication d'une série d'homélies pascales des Ve et VIe siècles - dont cinq inédites-, que des manuscrits attribuent avec beaucoup de crédibilité à Hésychius de Jérusalem, à Basile de Séleucie, à Jean de Béryte, à Léonce de Constantinople(33). Autant de point de repères certains, qui aideront à situer la douzaine d'homélies chrysostomiennes encore inédites.





Notes

1. Introduction, Texte critique, Traduction et Notes. SC 50, Paris 1955.

2. PG 49,211 - 222. Cf. ὡς καὶ τὸ πάσχα τὸ ἱερὸν δυνηθῆναί φθάσαι καὶ μεθ' ἡμῶν ἐπιτελέσαι (col. 211 lin. 19 post. init.).

3. CHRYSOSTOMUS BAUR, Johannes Chrysostomus und seine Zeit I, Munich 1929, p. 235.

4. Varia Graeca Sacra, Saint - Pétersbourg 1909, XLIV + 320 pages.

5. Cf. l'argumentation de Wenger, SC 50, p. 64-65 et 27.

6. Varia Graeca Sacra, p. 154-166. Inc. Ἄρα άπηλάσατε ἐκ τοῦ στόματος. Cf. WENGER, SC 50, p. 28 - 30 et 64 - 65.

7. Varia Graeca Sacra, p. 166 - 175. Inc. Ἐσχάτη τῆς κατηχήσεως ἡ σήμερον ἡμέρα. CF. WENGER, SC 50, p. 30 et 64 - 65.

8. PG 53,98: Ποτὲ μὲν τοὺς νενοσηκότας τῶν ἀδελφῶν, καὶ διὰ συνηθείας πρόληψιν ἀποσχίζοντας ἑαυτούς τοῦ συλλόγου τούτου τοῦ πνευματικοῦ, καὶ τὴν ἡδονὴν τῆς ἁγίας ἑορτῆς ἡμῖν ἀκρωτηριάζοντας, διὰ τῆς πολλῆς παρακλήσεως καὶ συμβουλῆς ἐπείθομεν, μὴ ἐπὶ πολὺ χωρίζειν ἑαυτοὺς τῆς τοῦ Χριστοῦ ποίμνης, μηδὲ ἔξω τοῦ σηκοῦ τούτου τοῦ πνευματικοῦ πλανᾶσθαι, καὶ τῷ μὲν λόγῳ καὶ τῷ ὀνόματι ἡμῖν ἡνῶσθαι, τῇ δὲ ἀλήθείᾳ Ἰουδαίοις κατακολουθεῖν τοῖς ἐπὶ τῇ σκιᾷ παρακαθημένοις, καὶ τῷ λύχνῳ προσηλωμένοις, μετὰ τὴν ἔλλαμψιν τοῦ τῆς δικαιοσύνης ἡλίου. . . Ἐπεὶ οὗν καὶ τῶν περί τὴν τοῦ Πάσχα έορτὴν σφαλλομένων, καὶ διὰ τῆς νομιζομένης ταύτης μικρᾶς παρατηρήσεως μεγάλα ἑαυτούς ζημιούντων, τὴν ἡμῖν ἁρμόττουσαν πρόνοιαν ἐποιησάμεθα. . .

9. PG 53,305 lin. 11-23 post init.: Διά τοι τοῦτο ἡνίκα ἡ τῆς παραδόσεως ἔφθασεν ἡμέρα, τὴν ἀκολουθίαν διατεμόντες τῆς διδασκαλίας, τοῦ κατεπείγοντος γενόμενοι, ἐπὶ τὸν προδότην τὴν γλῶτταν ἐπαφήκαμεν, καὶ πάλιν τὰ κατὰ τὸν σταυρὸν ὑμῖν εἰς μέσον προεθήκαμεν. Εἶτα ἀναστάσεως ἡμέρας καταλαβούσης, ἀναγκαῖον ἥν τὰ περί τῆς ἀναστάσεως τοῦ δεσπότου διδάξαι την ὑμετέραν ἀγάπην, καὶ πάλιν ἐν ταῖς ἐφεξῆς ἡμέραις τῆς ἀναστάσεως τήν άπόδειξιν ὑμῖν παρασχεῖν διὰ τῶν μετὰ ταῦτα γεγενημένων θαυμάτων, ὅτε καὶ τῶν Πράξεων τῶν ἀποστολικῶν ἐπιβαλόμενοι, ἐκεῖθεν ὑμῖν συνεχῆ τὴν ἑστίασιν παρεθήκαμεν, πολλήν την παραίνεσιν καθ' ἑκάστην πρὸς τοὺς νεωστὶ τῆς χάριτος ἀξιωθέντας ποιησάμενοι.

10. De proditione Judae hom. 1, PG 49,373 - 382. Cf. le monitum de MONTFAUCON, col. 371 - 372.

11. De cruce et latrone hom. 1, PG 49,399 - 408.'

12. De resurrectione D.N.I.C., adversus ebriosas, PG 50,433-442. Cf. le monitum de MONTFAUCON, col. 431 - 432.

13. . In principium Actorum homiliae 1-4, PG 51, 65 - 112. Cf. MONTFAUCON, col. 63 - 64.

14. Cf. note 6.

15. PG 51, 69 lin. 24.

16. PG 50,434 lin. 6.

17. Cf. WENGER, SC 50, p.30 - 35.

18. CI. le récit de cette découverte ,SC 50, p. 7 - 13.

19. SC 50, p. 150-167. Cf. l'édition de la version latine, p. 168-181.

20. WENGER hésite: «au .matin même de Pâques» (p. 40); «durant la nuit» (p. 181).

21. SC 50, p. 181 - 199.

22. «Dimanche ou lundi de Pâques» (p. 42); «très probablement le jour même de Pâques. . . au cours d'une réunion tenue soit le matin, soit le soir de Pâques» (p. 181).

23. «Antioclie et non Constantinople» (p. 59-63);«ni 386, ni 387, ni 388»; «de 389 à 397» (p. 63 - 65).

24. ΡG 52, 421 - 424.

25. Revue des Etudes Byzantines 19(1961) 110- 123. Cf. no 2: Μωυσῆς. . . ἵνα τεσσαράκοντα μόνον ἡμέρας κατελίπῃ τὸν ἑαυτοῦ λαόν, εὗρεν αὐτοὺς στασιάζοντας. . . Ἐγώ δέ, οὔτε τεσσαράκοντα ἡμέρας, ἀλλὰ καὶ πεντήκοντα καὶ ἑκατὸν καὶ πλείους εὗρον ὑμᾶς. A la différence du P.Wenger, je traduis'«plus de 150 jours» et non «un peu plus de 100 jours» (WENGER p. 111). No 12: Ἀλλ’ ἐπεθυμοῦμεν, φησίν, το Πάσχα μετά σοῦ ποιῆσαι. Νο 15: Ἀλλὰ πολλοὶ καὶ ἐβαπτίσθησαν μὴ παρόντος σου (p. 114, 118 et 120).

26. Dialogus de Vita S.Iohannis Chrysoslomi, 9 (PG 47, 34).

27. Paris 1950: cf. PG 59, 735-746

28. R. CANTALAMESSA, L’Omelia 'In. S. Pascha dello Pseudo-Ippolito di Roma. Ricerche sulla teologia dell'Asia Minore• nella seconda meta del II secolo, Milan 1967.

29. SC 48, Paris 1957 : cf. PG 59, 745 - 756. Cf. M. AUBINEAU, «Citations du PS. Chrysostome In Pascha sermo VII» dans Rivista di Storia e Letteratura Religiosa 7 (1971) 70-81.

30. Cf. M. AUBINEAU, «Une enquête dans les manuscrits chrysostomiens: opportunité, difficultés, premier bilan», dans Rev. Hist. Eccl. 63 (1968) 5 - 26, et notre premier volume: Codices Chrysostomici Graeci. I: Codices Britanniae et Hiberniae, Paris 1968, XXVI + 311 pages.

31. Son silence nous laissait craindre qu'il l'avait abandonnée. Heureusement dans l'été 1965, il rejoignait l'entreprise, profitant d'un voyage en Europe pour commencer, en bibliothèques, l'examen des manuscrits chrysostomiens.

32. Après avoir achevé l'édition, déjà très avancée, du «corpus» des homélies festates d'Hésychius de Jérusalem. Cf. notre note, insérée par W.J. Burghardt, dans sa chronique, «Literature of Christian Antiquity», dans Theological Studies 33 (1972) 281-282. Ce corpus comprend trois homélies déjà publiées dans la PG 93, 1453-1480, dont on donnera une édition critique; une douzaine d'homélies inédites; quatre ou cinq textes, d'authenticité douteuses.

33. Homélies Pascales (cinq homélies inédites). Introduction, Texte critique, Traduction, Commentaire et Index: SC 187, Paris 1972, 543 pages. Lire aussi, paru depuis eu 1973, dans Zetesis. Mélanges E. de Strycker: «Une homélie pascale, attribuée à S. Athanase d'Alexandrie, dans le Sinaiticus gr. 492» (édition, traduction française et commentaire), p. 668 - 678.

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